samedi 30 octobre 2010

Manifestations contre la modification de la loi 1990


Bordeaux, le 30 octobre 2010

Samedi 30 octobre 2010: grande journée nationale d'actions organisée par la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme contre le projet de loi sur la psychiatrie proposé par Madame Bachelot. Une trentaine de manifestations sont organisées dans toute la France, dont 5 en Aquitaine :

9h00 – 10h00 : devant l'Hôpital Psychiatrique de Libourne
10h30 – 11h30 : Rue Clément Thomas – Quai des Salinières à Libourne
12h30 – 13h30 : devant l'Hôpital Psychiatrique de Cadillac
15h00 – 16h00 : devant l'Hôpital Psychiatrique Charles Perrens à Bordeaux
16h30 – 17h30 : Stand Place Saint Projet à Bordeaux

En mai 2010, la Ministre de la Santé Madame Roselyne Bachelot, a fait adopté au Conseil des Ministres un projet de loi intitulé « Droits et protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et modalités de leur prise en charge ». Ce projet de loi doit remplacer la loi de 1990 sur les hospitalisations psychiatriques.

Cette loi représente une réelle menace pour les libertés et droits fondamentaux des Français.

Si elle est votée, un psychiatre pourra décider seul de l'internement sous contrainte de n'importe quel citoyen français, sans nécessité de l'accord familial ou de l'avis d'un autre médecin. Alors qu'aujourd'hui en France de nombreux internements abusifs ont lieu - plus de 73 500 internements sous contrainte par an - cette loi donnera tout pouvoir au psychiatre.

De plus, n'importe quelle personne pourrait recevoir de force des traitements psychiatriques sans faire l'objet d'une hospitalisation. Elle sera forcé de recevoir des injections de psychotropes, des pilules, ou des électrochocs. Si elle refuse, elle sera alors internée en psychiatrie.
Rappelons que les traitements psychiatriques comportent de nombreux effets dangereux : convulsions, coma, délires, agressivité, comportements suicidaires, etc.

Cette loi risque d'augmenter considérablement les internements de force en psychiatrie, et de mettre la population française sous camisole chimique. Elle représente un réel danger pour notre pays !
CCDH n'est pas la seule organisation à se battre contre ce projet de loi.

L'intersyndical des psychiatres, soit 80% de la psychiatrie publique, a organisé une manifestation le 28 septembre 2010 devant le Ministère de la Santé afin de contester cette réforme.

Le 4 octobre 2010, le Collectif des 39 contre la nuit sécuritaire a organisé un colloque à l'Assemblée Nationale sur le thème « Continuité des soins ou continuité de la contrainte ? ». A cette occasion, le Député Noël Mamère, a fait un discours pour dénoncer ce projet de loi et explique : « Nous sommes totalement solidaires de la démarche de l'appel des 39 et nous réclamons le retrait du projet de loi qui réforme les règles relatives aux soins psychiatriques. Ce projet de loi est inique, injuste et il transforme le patient  en un prisonnier potentiel. »

Les Verts ne sont pas les seuls à contredire ce projet de loi. Tous les partis politiques de gauche demandent le retrait définitif de cette loi liberticide.

La CCDH existe en France depuis 1974 pour dénoncer les violations des Droits de l'Homme en psychiatrie.

Elle continuera ses actions de sensibilisation jusqu'à temps que ce projet de loi soit définitivement retiré.

Pour plus d'informations, vous pouvez contacter le responsable de l'antenne Aquitaine de CCDH, Samuel, au 06 58 84 13 33 ou par e-mail à ccdh.aquitaine@gmail.com

Vous pouvez également visitez le site www.ccdh.fr et http://ccdhaquitaine.blogspot.com

samedi 2 octobre 2010

Stand pour protester contre les abus psychiatriques


Bordeaux, le 2 Octobre 2010

Bordeaux - La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme ont organisé un stand d'information le Samedi 4 Septembre à partir de 14h00 sur la place Saint Projet pour protester contre les abus psychiatriques.

Les membres de l'association ont dénoncé le fait que la psychiatrie est une pseudo science et n'apporte aucune preuve scientifique à ses diagnostics. L'hyperactivité ne repose sur aucune preuve objective et ne peut donc pas être considérée comme maladie mentale.

La psychiatrie propose un traitement pour cette "maladie". Le traitement est médicamenteux, par le stimulant Ritaline, et consiste à donner à des enfants à partir de 6 ans des psychotropes ayant de lourdes conséquences.

15 000 enfants français prennent de la Ritaline. Ce psychotrope entraîne une dépendance et des effets secondaires tels que des vertiges, des convulsions, des hallucinations ou encore des idées suicidaires.

Il est très dangereux d'administrer ce médicament, et encore plus à un enfant.

La CCDH s'oppose au dépistage des maladies mentales chez les enfants français, car cela pourrait aboutir à mettre les prochaines générations sous camisole chimique, et ce depuis le plus jeune âge.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe en France depuis 1974 pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie. L'association est contactée tous les jours par de nombreuses victimes de la psychiatrie et de ses traitements.

Pour toute information complémentaire, contactez le responsable France au 01 40 01 09 70 ou le responsable Aquitaine au 06 36 93 67 55. http://ccdhaquitaine.blogspot.com; www.ccdh.fr.

lundi 13 septembre 2010

Stand pour protester contre les abus psychiatriques

Bordeaux, le 13 Septembre 2010

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise un stand le Samedi 4 Septembre sur la place Saint projet à partir de 14h00 pour protester contre les abus psychiatriques.

Les membres de l'association dénoncent le fait que la psychiatrie est une pseudo science et n'apporte aucune preuve scientifique à ses diagnostics. L'hyperactivité ne repose sur aucune preuve objective et ne peut donc pas être considérée comme maladie mentale.

La psychiatrie propose un traitement pour cette "maladie". Le traitement est médicamenteux, par le stimulant Ritaline, et consiste à donner à des enfants à partir de 6 ans des psychotropes ayant de lourdes conséquences.

15 000 enfants français prennent de la Ritaline. Ce psychotrope entraîne une dépendance et des effets secondaires tels que des vertiges, des convulsions, des hallucinations ou encore des idées suicidaires.

Il est très dangereux d'administrer ce médicament, et encore plus à un enfant.

La CCDH s'oppose au dépistage des maladies mentales chez les enfants français, car cela pourrait aboutir à mettre les prochaines générations sous camisole chimique, et ce depuis le plus jeune âge.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe en France depuis 1974 pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie. L'association est contactée tous les jours par de nombreuses victimes de la psychiatrie et de ses traitements.

Pour toute information complémentaire, contactez le responsable France au 01 40 01 09 70 ou le responsable Aquitaine au 06 36 93 67 55. http://ccdhaquitaine.blogspot.com et www.ccdh.fr

samedi 4 septembre 2010

Manifestation pour lutter contre les abus psychiatriques


Bordeaux, le 4 Septembre 2010

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a organisé une manifestation le Samedi 4 Septembre devant Charles Perrens pour protester contre les abus psychiatriques.

Les membres de l'association dénoncent le fait que la psychiatrie est une pseudo science et n'apporte aucune preuve scientifique à ses diagnostics. L'hyperactivité ne repose sur aucune preuve objective et ne peut donc pas être considérée comme maladie mentale.

La psychiatrie propose un traitement pour cette "maladie". Le traitement est médicamenteux, par le stimulant Ritaline, et consiste à donner à des enfants à partir de 6 ans des psychotropes ayant de lourdes conséquences.

15 000 enfants français prennent de la Ritaline. Ce psychotrope entraîne une dépendance et des effets secondaires tels que des vertiges, des convulsions, des hallucinations ou encore des idées suicidaires.

Il est très dangereux d'administrer ce médicament, et encore plus à un enfant.

La CCDH s'oppose au dépistage des maladies mentales chez les enfants français, car cela pourrait aboutir à mettre les prochaines générations sous camisole chimique, et ce depuis le plus jeune âge.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe en France depuis 1974 pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie. L'association est contactée tous les jours par de nombreuses victimes de la psychiatrie et de ses traitements.

Pour toute information complémentaire, contactez le responsable France au 01 40 01 09 70 ou le responsable Aquitaine au 06 36 93 67 55

samedi 28 août 2010

CCDH dénonce la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques


Bordeaux, le 28 Aout 2010

Stand de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme le samedi 28 Août à 14h00 situé Place Saint Projet. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

vendredi 2 juillet 2010

Manifestation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme à Bordeaux la 25 Juin 2010


Paris, le 29 juin 2010


La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a organisé une manifestation le vendredi 25 juin à Bordeaux pour protester contre un congrès psychiatrique sur l'hyperactivité visant à mettre nos enfants sous camisole chimique.


Une quarantaine de manifestants se sont réunis vendredi dernier place de la Victoire à Bordeaux pour protester contre le premier congrès de langue française de psychiatrie consacré à l'hyperactivité. Ce congrès réunissait 600 psychiatres dans le but de dépister au plus tôt ce soi-disant trouble mental chez les enfants français.


Les manifestants dénonçaient le fait que la psychiatrie est une pseudo science et n'apporte aucune preuve scientifique à ses diagnostics. L'hyperactivité ne repose sur aucune preuve objective et ne peut donc pas être considérée comme maladie mentale.


La psychiatrie propose un traitement pour cette "maladie". Le traitement est médicamenteux, par le stimulant Ritaline, et consiste à donner à des enfants à partir de 6 ans des psychotropes ayant de lourdes conséquences.

15 000 enfants français prennent de la Ritaline. Ce psychotrope entraîne une dépendance et des effets secondaires tels que des vertiges, des convulsions, des hallucinations ou encore des idées suicidaires.

Il est très dangereux d'administrer ce médicament, et encore plus à un enfant.


Le congrès était soutenu par un laboratoire pharmaceutique. Cela démontre bien l'intérêt des psychiatres à diagnostiquer de plus en plus d'enfants comme étant hyperactifs. Ils ne font qu'étiqueter en tant que maladies mentales des comportements humains, afin de prescrire toujours plus de médicaments


La CCDH s'oppose au dépistage des maladies mentales chez les enfants français, car cela pourrait aboutir à mettre les prochaines générations sous camisole chimique, et ce depuis le plus jeune âge.


La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe en France depuis 1974 pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie. L'association est contactée tous les jours par de nombreuses victimes de la psychiatrie et de ses traitements.


Pour toute information complémentaire, vous pouvez nous contacter par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

samedi 5 juin 2010

Manifestation sur les hospitalisations psychiatriques à Paris


Une réforme de la loi de juin 1990 sur les hospitalisations psychiatriques a été présentée au Conseil des ministres et devrait être discutée au parlement prochainement.
Cette nouvelle loi donnera tous pouvoirs aux psychiatres pour enfermer ou mettre un citoyen sous camisole chimique, ce qui est une réelle menace pour la liberté des Français.
 Les procédures d'internement sous contrainte seront simplifiées. Un psychiatre n'aura plus besoin de l'accord de la famille pour interner une personne, et pourra décider à lui seul de la privation de libertés d'un citoyen français.
Le nombre d'internements abusifs en psychiatrie augmentera considérablement, et aucun contrôle de pourra être exercé.
 Les soins psychiatriques sous contraintes pourront être administrés en dehors de l'hôpital. Il n'y aura plus besoin de procéder à un internement pour mettre de force une personne sous traitement.
Les médicaments psychiatriques créent une dépendance chez le consommateur et ont des effets secondaires pouvant entraîner de la violence, des hallucinations ou des comportements suicidaires.
La France est l'un des pays qui consomme le plus de psychotropes au monde. L'Assurance maladie rembourse plus d'un milliard d'euros par an pour ces médicaments.
Avec cette réforme de loi, on pourra imposer à n'importe quel citoyen de se rendre régulièrement à l'hôpital pour recevoir sa dose de psychotropes. Cela risque de mettre toute la population française sous camisole chimique.
 Le psychiatre sera demain l'homme le plus puissant de France. Il pourra à lui seul décider de la liberté et ou de la séquestration d'une personne.
 Les droits de l'Homme sont menacés. La CCDH demande aux parlementaires de ne pas voter cette loi.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme dénonce les abus en psychiatrie. L'association est contactée par de nombreuses victimes chaque semaine et s'efforce de faire respecter les droits de l'Homme dans le domaine de la psychiatrie.
Pour plus d'informations, vous pouvez nous contacter par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

samedi 29 mai 2010

Manifestation pour lutter contre les abus psychiatriques


Manifestation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme le samedi 29 Mai de 10h30 à 12h00 devant l'Hôpital Charles PERRENS. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

lundi 24 mai 2010

Dénoncer les abus psychiatriques


Stand de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme le samedi 22 Mai de 13h45 à 15h15 situé Place Saint Projet. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

samedi 15 mai 2010

Prévenir des drangers de la psychiatrie


Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme ont organisé le samedi 15 Mai 2010 à 14h00 sur la place Saint Projet. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70, au 06 67 56 88 04 ou ccdh@wanadoo.fr. Vous pouvez également contacter le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh.aquitaine@gmail.com.

dimanche 9 mai 2010

la loi sur les hospitalisations psychiatriques


Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
BP 10076 - 75561 Paris Cedex 12
01 40 01 09 70

Paris, le 9 Mai 2010


Communiqué de presse

Manifestation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme le samedi 8 Mai 2010 de 10h30 à 12h00 devant l'Hôpital Charles PERRENS. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70, au 06 67 56 88 04 ou ccdh@wanadoo.fr. Vous pouvez également contacter le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh.aquitaine@gmail.com.

samedi 1 mai 2010

Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme


Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
BP 10076 - 75561 Paris Cedex 12
01 40 01 09 70

Paris, le1er Mai 2010


Communiqué de presse
Manifestation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme samedi1 Mai de 13h45 à 15h15 Place Saint Projet. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

dimanche 25 avril 2010

Communiqué de presse


Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
BP 10076 - 75561 Paris Cedex 12
01 40 01 09 70

Paris, le 25 Avril 2010


Communiqué de presse

Manifestation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme samedi 24 avril de 10h30 à 12h00 devant l'Hôpital Charles PERRENS. L'association a dénoncé la réforme de la loi sur les hospitalisations psychiatriques qui risque d'entrainer encore plus d'internements abusifs.

Il a été récemment annoncé par Madame le ministre de la santé que la loi du 27 juin 1990 concernant les hospitalisations psychiatriques sera réformée pour simplifier les procédures.

La procédure d'hospitalisations psychiatriques la plus utilisée en France est l'hospitalisation sous demande d'un tiers ou HDT. Cette procédure d'internements sous contrainte, faute de contrôle, laisse place à de nombreux abus
Une hospitalisation de ce genre est effectuée si une personne (le tiers) demande l'internement d'un membre de sa famille ou de son ami. Ce tiers peut également décider de la sortie de la personne internée.

La nouvelle loi voudrait que dans cette procédure, le tiers soit supprimé afin de faciliter l'hospitalisation. Le psychiatre aura alors seul le pouvoir de faire interner une personne en psychiatrie.
Et si la famille demande l'hospitalisation d'un de ses membres, elle n'aura plus aucun pouvoir quant à sa sortie.
Si cette réforme est adoptée, alors le psychiatre aura le pouvoir de décider tout seul de la liberté ou de l'enfermement d'une personne, et sans aucun moyen possible de contrôler les abus.

La CCDH met en garde le gouvernement français contre ce projet, qui risquerait d'entraîner encore plus d'internements abusifs en psychiatrie.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme se bat en France depuis plus de 35 ans pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l'association par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine, M. HUET au 06 98 55 30 65 ou par mail à ccdh@wanadoo.fr.

dimanche 11 avril 2010

Manifestation pour lutter contre les abus psychiatriques


Bordeaux, le 11 Avril 2010


Communiqué de presse


Le stand de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a eu lieu Samedi 10 Avril 2010 de 13h45 à 15h15 sur la place Saint Projet pour dénoncer les fondements non scientifique des diagnostics psychiatriques.
Depuis février 2010, le transsexualisme n'est plus considéré comme une maladie mentale en France, ce qui est une bonne chose.
Pourtant, les psychiatres l'avaient qualifié d'incurable.
Mais suite aux demandes d'associations de transsexuels, la ministre de la santé, Madame Roselyne Bachelot, a décidé par décret de rayer le transsexualisme de la liste des pathologies psychiatriques.
Cette procédure ressemble de près à celle de l'homosexualité, qui, suite aux pressions des homosexuels, avait été retiré de la liste des maladies mentales dans les années 70.
Il relèverait donc de l'État de décider si un comportement humain doit être qualifié de maladie mentale ou non. Cela montre le caractère infondé des diagnostics psychiatriques.
Il n'existe aucune preuve scientifique pour diagnostiquer à coup sûr une maladie mentale, à tel point qu'un ministre puisse enlever du jour au lendemain une maladie de la liste des pathologies psychiatriques.
Qu'en est-il alors pour toutes ces "maladies psychiatriques", dont le nombre ne cesse
d'augmenter, et qui consistent à poser une étiquette sur chaque caractéristique humaine ?
De nouveaux troubles mentaux ne cessent de s'ajouter à la longue liste des pathologies psychiatriques. Le DSM (manuel de diagnostic et statistique des troubles mentaux) a commencé par répertorier 112 maladies mentales en 1952 pour en avoir 374 en 2000. De nouvelles maladies continuent d'être inventées pour chaque aspect du comportement humain. Un nouveau DSM arrivera en 2012 où "l'addiction à internet", "le trouble de l'acheteur compulsif" ou encore le "trouble de l'alimentation excessive" devraient apparaître.
La CCDH dénonce ces abus de la psychiatrie, qui risquent de mettre toute la population sous camisole chimique à force de diagnostiquer toujours de nouvelles maladies.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe depuis 1974 en France et dénonce les abus dans le domaine de la psychiatrie. Contactée par de nombreuses victimes, l'association met en place des actions de sensibilisation afin que les Droits de l'Homme soit respectés en psychiatrie.
Pour plus d'information, contactez la porte-parole, Mylène Escudier, au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine Philippe Huet au 06 98 55 30 65.

samedi 13 mars 2010

LA LUTTE CONTRE LES ABUS PSYCHIATRIQUES CONTINUE


Communiqué de presse

Ce Samedi 13 Mars 2010, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme (CCDH) a organisé une manifestation devant l'Hôpital Charles Perrens pour informer et sensibiliser les bordelais à partir de 10h30 sur les dangers du dépistage des troubles mentaux dans les écoles.

L'école ne doit pas devenir un centre de contrôle psychiatrique du comportement. C'est pourtant un risque véritable. En effet, une récente étude sur les troubles psychiatriques des étudiants vient d'être réalisée dans les universités de la Région PACA. Résultat : 1 étudiant sur 4 souffre de troubles psychiatriques.

De plus tout récemment, 1012 familles françaises ont été soumises à un questionnaire pour dépister l’hyperactivité des enfants âgés de 6 à 12 ans. Résultat : 5,6% des enfants de cette tranche d’âge sont hyperactifs.

Les derniers rapports de l’INSERM sur la santé mentale des enfants préconisent un dépistage systématique des troubles mentaux dans les écoles. On se souvient également du projet de loi sur la prévention de la délinquance (préconisant un dépistage des troubles des conduites pour les enfants de 3 ans). Un collectif s’est alors crée : le Collectif Pas de Zéro de conduite. Plus de 200 000 personnes, personnels de santé, parents et citoyens ont signé une pétition contre ce dépistage. Cela n'a pas empêché que dans le courant de l’année 2007, des questionnaires pour enquêter sur la santé mentale des enfants de 5ans ont été distribués dans plusieurs écoles parisiennes, une initiative de la Fondation MGEN (la Mutuelle Générale de l'Éducation Nationale) en accord avec la mairie de Paris. Les associations de parents d’élève se sont alors révoltées et ont fait retirer ces questionnaires intrusifs par rapport à la vie privée.

Les membres de la CCDH sont inquiets quant à ces nombreuses tentatives de stigmatisation de nos enfants. Aujourd’hui, il existe une loi (la loi de protection de l’enfance) et une circulaire autorisant les dépistages des troubles psychologiques dans les écoles. CCDH demande que les tests de dépistage soient interdits dans les écoles qui doivent rester des lieux de transmission du savoir et non des cliniques psychiatriques ou des centres de contrôle social. Une pétition pour la protection de l’enfance et contre le dépistage des troubles mentaux pourra être signée sur le stand d’information.
Il est regrettable que la France se rapproche de plus en plus du modèle des Etats-Unis. Là-bas, le dépistage des troubles mentaux dans les écoles est appliqué, ce qui a entraîné la mise sous camisole chimique de plus de 8 millions d’enfants. Faut-il rappeler aux psychiatres français les effets secondaires et les conséquences désastreuses que ces médicaments peuvent avoir sur des enfants ?

Les plus grandes tueries dans les écoles aux États-Unis ont été perpétrées par des enfants et adolescents sous traitement psychotropes. Les effets secondaires de telles drogues sont le suicide, la violence, une mort subite…

En France, plus d’1 million d’enfants prennent un psychotrope au cours d’une année. Cela détruit la future génération mais rapporte de gros bénéfices financiers à l’industrie pharmaceutique.

Le gouvernement Français et les professionnels de la santé feraient mieux de s’occuper des véritables problèmes de santé tel que le dépistage des troubles auditifs, les carences alimentaires qui sont fréquentes chez les enfants. Il faut rappeler que les critères diagnostiques utilisés pour étiqueter un enfant comme malade mental n’ont aucun caractère scientifique. Comme le dit le bio-psychologue Elliot S. Valenstein « Il n’existe aucun test pour mesurer l’état chimique du cerveau d’une personne vivante. De même, on n’a trouvé aucun signe biochimique, anatomique ou fonctionnel qui distingue de façon fiable les cerveaux des patients atteints de troubles mentaux. »

La CCDH, sur le terrain depuis plus de 30 ans en France, continue son action d’information et demande au gouvernement l’interdiction de dépister les troubles mentaux des enfants dans les écoles.

Pour plus d'information, contactez la porte-parole, Mylène Escudier, au 01 40 01 09 70 ou au 06 67 56 88 04 ou le responsable Aquitaine Philippe Huet au 06 98 55 30 65 et a ccdh.aquitaine@gmail.com.

samedi 27 février 2010

STAND CCDH SOUS LA PLUIE


Ce Samedi 27 Février 2010, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme (CCDH) a organisé un stand sur la Place Saint Projet pour informer et sensibiliser les bordelais de 10h30 à 12h00 sur les dangers du dépistage des troubles mentaux dans les écoles.

L'école ne doit pas devenir un centre de contrôle psychiatrique du comportement. C'est pourtant un risque véritable. En effet, une récente étude sur les troubles psychiatriques des étudiants vient d'être réalisée dans les universités de la Région PACA. Résultat : 1 étudiant sur 4 souffre de troubles psychiatriques.


De plus tout récemment, 1012 familles françaises ont été soumises à un questionnaire pour dépister l’hyperactivité des enfants âgés de 6 à 12 ans. Résultat : 5,6% des enfants de cette tranche d’âge sont hyperactifs.


Les derniers rapports de l’INSERM sur la santé mentale des enfants préconisent un dépistage systématique des troubles mentaux dans les écoles. On se souvient également du projet de loi sur la prévention de la délinquance (préconisant un dépistage des troubles des conduites pour les enfants de 3 ans). Un collectif s’est alors crée : le Collectif Pas de Zéro de conduite. Plus de 200 000 personnes, personnels de santé, parents et citoyens ont signé une pétition contre ce dépistage. Cela n'a pas empêché que dans le courant de l’année 2007, des questionnaires pour enquêter sur la santé mentale des enfants de 5ans ont été distribués dans plusieurs écoles parisiennes, une initiative de la Fondation MGEN (la Mutuelle Générale de l'Éducation Nationale) en accord avec la mairie de Paris. Les associations de parents d’élève se sont alors révoltées et ont fait retirer ces questionnaires intrusifs par rapport à la vie privée.

Les membres de la CCDH sont inquiets quant à ces nombreuses tentatives de stigmatisation de nos enfants. Aujourd’hui, il existe une loi (la loi de protection de l’enfance) et une circulaire autorisant les dépistages des troubles psychologiques dans les écoles. CCDH demande que les tests de dépistage soient interdits dans les écoles qui doivent rester des lieux de transmission du savoir et non des cliniques psychiatriques ou des centres de contrôle social. Une pétition pour la protection de l’enfance et contre le dépistage des troubles mentaux pourra être signée sur le stand d’information.

Il est regrettable que la France se rapproche de plus en plus du modèle des Etats-Unis. Là-bas, le dépistage des troubles mentaux dans les écoles est appliqué, ce qui a entraîné la mise sous camisole chimique de plus de 8 millions d’enfants. Faut-il rappeler aux psychiatres français les effets secondaires et les conséquences désastreuses que ces médicaments peuvent avoir sur des enfants ?

Les plus grandes tueries dans les écoles aux États-Unis ont été perpétrées par des enfants et adolescents sous traitement psychotropes. Les effets secondaires de telles drogues sont le suicide, la violence, une mort subite…

En France, plus d’1 million d’enfants prennent un psychotrope au cours d’une année. Cela détruit la future génération mais rapporte de gros bénéfices financiers à l’industrie pharmaceutique.

Le gouvernement Français et les professionnels de la santé feraient mieux de s’occuper des véritables problèmes de santé tel que le dépistage des troubles auditifs, les carences alimentaires qui sont fréquentes chez les enfants. Il faut rappeler que les critères diagnostiques utilisés pour étiqueter un enfant comme malade mental n’ont aucun caractère scientifique. Comme le dit le bio-psychologue Elliot S. Valenstein « Il n’existe aucun test pour mesurer l’état chimique du cerveau d’une personne vivante. De même, on n’a trouvé aucun signe biochimique, anatomique ou fonctionnel qui distingue de façon fiable les cerveaux des patients atteints de troubles mentaux. »

La CCDH, sur le terrain depuis plus de 30 ans en France, continue son action d’information et demande au gouvernement l’interdiction de dépister les troubles mentaux des enfants dans les écoles.

Pour plus d'information, contactez le responsable Aquitaine Philippe HUET au 06 98 55 30 65 ou à ccdh.aquitaine@gmail.com

lundi 8 février 2010

Présentation


Bonjour à tous,

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une association qui lutte pour l'application des Droits de l'Homme en psychiatrie et qui lutte contre l'abus psychiatrique.

Sur ce blog, vous découvrirez les actions de l'antenne Aquitaine grâce aux communiqués et aux photos.

Pour en savoir davantage sur l'association, visitez le site www.ccdh.fr.